* 601. Réparation des chaussées dégradées

Par Jean Hennicken
Mobilité, Sécurité, Transition climatique

Tous les quartiers

41 0
En savoir plus

Voir titre

Commentaires
JEAN PAUL E. PIRARD a écrit :
22/06/2019 09:45

C'est parfaitement inutile de vouloir réparer les chaussées dégradées tant qu'on acceptera le passage des camions. C'est de l'argent mis à la poubelle. Les voiries liégeoises ne sont pas faites pour accueillir pareils mastodontes.
Les semi-remorques de 42 tonnes en ville est un véritable scandale. Les magasins et les supermarchés ne doivent pas être approvisionnés par des semi-remorques de 42 tonnes qui parfois livrent une seule palette de marchandises, mais par des camionnettes de moins de 3,5 tonnes ou à la rigueur par de petits camions de moins de 15 tonnes. Si Liège doit devenir une véritable métropole, c’est à ce prix. Liège ne doit pas être la victime du « just in time », système où les dépôts de marchandises se trouvent dans les camions et non dans des entrepôts. La Ville de Liège doit obliger les transporteurs à transférer les marchandises des semi-remorques dans des camionnettes avant de livrer aux commerçants et aux supermarchés à l’intérieur de la Ville. Paris l’a fait, pourquoi Liège ne le fait pas ?
Les semi-remorques qui transitent à travers la ville – quais de la dérivation, quais de la rive gauche de la Meuse, rue de Gaillarmont, boulevard de l’automobile, rue Jules Cralle, rue de Herve… est une situation absolument scandaleuse et indéfendable dont les Autorités communales sont totalement responsables par leur laxisme. Il n’est pas difficile de prendre les mêmes mesures que la commune de Pepinster qui est parvenue, avec l’aide de la Région Wallonne, à interdire le trafic de transit ; près de 2000 camions par jour qui vont maintenant traverser Liège. De nombreux semi-remorques de 42 tonnes transitant entre l'autoroute d'Aix-la-Chapelle et l'autoroute des Ardennes, ou entre l'autoroute de Maastricht et l'autoroute des Ardennes traverse la ville pour réduire le kilométrage et éviter le péage en évitant le tour de la ville par l’échangeur de Loncin.