208. Rénovation du halage quai Banning et liaison avec le Val Benoît - Ravel direction Sclessin

Par Jonathan Margrève

Guillemins - Fragnée

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Quand on se ballade le long de la Meuse entre le pont de Fragnée et le Val Benoît, en direction de Sclessin, le magnifique halage pavé laisse subitement place à un halage abandonné où la végétation est de plus en plus dense (après le pont du Pays de Liège). Avec de bonnes chaussures, il est possible de poursuivre sa promenade, mais au bout l'espace se réduit et on arrive au bord d'un rond-point, celui qui fait la liaison quai Banning quai Timmermans, sans possibilité de traverser ou de continuer le long du quai.

Ma proposition est la suivante : rénover et entretenir ce chemin de halage (environ 500 mètres), en conservant un aspect semi-sauvage, et profiter de la réhabilitation du site du Val Benoît pour le relier au halage en créant un passage piéton (ou une passerelle en bois) au niveau du rond-point quai Banning - quai Timmermans - Rue Armand Stévart.

Cela permettrait aux piétons et aux cyclistes d'accéder au site du Val Benoît, à la Rue Ernest Solvay et à la rue Côte d'Or (via le tunnel sous les rails) sans emprunter de grands axes routiers et en restant dans un environnement vert et agréable en bord de Meuse. Il y aurait donc une jonction entre les tout nouveaux quais de Meuse (quai de Rome) et le future nouveau site du Val Benoit.

Pour plus d'informations et d'illustrations, n'hésitez pas à consulter le fichier PDF ci-joint ;-).

Commentaires
Jean-Baptiste Pion a écrit :
17/06/2019 10:45

Cela améliorerait grandement la fluidité du ravel entre Fragnée (belle Liégeoise) et Sclessin.
Pour le moment, c'est un imbroglio entre trottoirs, pistes cyclables aménagées et marquées ou non,...
Pour les cyclistes au quotidien, c'est un vrai point noir. Votre solution apporterait une plus-value évidente à la mobilité douce dans cette partie de la ville.
Elle donnerait un signal fort quant à l'accès au val benoit sans voiture depuis le centre ou les autres quartiers. Le val benoit ce sont aussi des entreprises comme l'issep et le MET, (Plusieurs dizaines de salariés chaque une) dont beaucoup d'employés pourraient être séduits par un accès "doux" à leur lieu de travail.